Théâtre de la La Providence Rue St Augustin à Nice
Slobodan a sa demeure dans les étoiles.
Il berce son cœur sur un
fil tendu entre deux astres et promène son pinceau sur le grand
manège céleste. Il place ses petits personnages naïfs et
émerveillés souvent au milieu des galaxies. La technique du verre
peint leur donne profondeur et lumière.

Lors du
vernissage , lundi 20 janvier à 18 h, la parole des conteuses a rejoint ses œuvres peintes. Non
comme illustration ou commentaire, mais comme écho. Le chasseur
sibérien qui part rechercher sa femme dans le ciel, la mère qui
aime autant chacun de ses huit enfants, l’étoile qui devient
nénuphar, la fleur de jasmin, stellaire et parfumée, qui réveille
la belle endormie ou la bonne fée qui sauve à temps les hommes
menacés par un méchant magicien d’un ciel désormais totalement
obscur sont autant d’amis des gentils bonhommes au chapeau melon.
Un
diaporama mis au point par Lisette a permis d’être encore
davantage plongé dans l’univers de l’artiste.
Ce
dernier toutefois n’a pas été, à notre goût, suffisamment à
l’honneur. Deux-trois mots au début… C’est bien peu par
rapport à la longue présentation du programme de l’année… Il
aurait été préférable que cette présentation soit plus courte ou
qu’elle ait lieu à un autre moment....
Mais
gardons malgré tout le cœur en forme d'étoile.
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